Cie L'Horloge Qui Ne Sonne Pas
(Ardennes)
"L'Hommarbre"
Petite forme tout public à partir de 18 mois.
Interprétation : Thierry Charles
''La Lune se lève avec un petit air triste... Le Soleil vient la remplacer et les Saisons défilent... et la Nature réagit ! Mais quel est donc cet Arbre étrange qui pousse ?''
''La structure, composée d'un carré de plastique transparent suspendue, est éclairée par deux spots, ce qui laisse transparaître le peintre et son matériel (pinceaux, peinture, eau, chiffon, matériel son, …). Rien n'est caché volontairement pour avoir toujours à l'esprit que c'est un tableau qui est en train d'être peint par une personne, comme les marionnettistes qui manipulent à vue... L'idée générale est de faire des Arts Visuels une place dans le spectacle vivant comme le théâtre, la danse, la musique, … Ce spectacle est une réflexion poétique sur le thème de l'écologie... Il se déroule à partir de trois morceaux de musique de Ludovico Einaudi. Ambiance musicale très calme et sans parole, cette forme théâtrale désire éveiller les perceptions et stimuler l'imagination des tout petits et susciter une réflexion pour les plus grands...''
''C'est une très petite forme de spectacle,très intimiste. La surface qui sera peinte et interprétée, ne fait que 1m². L'idée est de pouvoir installer les enfants à proximité de la toile et en petit nombre. Les enfants sont assis devant, au sol, en demi-cercle et les parents (accompagnateurs) sont assis derrière. Cette formule est également adaptée pour être jouée dans tous types de lieux : classes, crèches, chez l'habitant…''
''Ce spectacle dure environ +-30 minutes. La durée est adaptée au temps de concentration des tout petits. Cette formule courte permet d'être jouée plusieurs fois de suite et ainsi pouvoir accueillir un groupe d'enfant plus important.''
Le spectacle peut être accompagné d'une exposition d'illustrations sur le thème de l'arbre (20 illustrations sous verre / format 42.5x32.5cm)
Article de presse :
"L'Hommarbre" par l'infâme Fély (Journal Karagoz le jeune)
"Du haut de mes dix mois, je vais vous dire, moi, les copains, ce qu'il ne faut pas manquer : Thierry Charles, il était là tout seul et il agitait ses pinceaux en racontant une histoire sans mot par des traits de pinceaux. Il est un peu à la marionnette ce que l'urinoir de Duchamp est aux Beaux-Arts : une forme limite. Un mélange des genres. Mais oui, il les anime ses pinceaux, personne ne peut le nier. Et c'est doux, c'est poétique. En tout cas moi, je me suis bien amusé, je l'ai bien manifesté pendant tout le sepctacle. Faudra que je trouve un moyen pour me débarasser de mon pantalon : sans lui ma maman ne m'aurait pas rattrapé à temps et j'aurais pu aller jouer avec la Cie L'Horloge qui ne sonne pas."